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MAMADOU DANGO, CHERCHEUR BURKINABE: « Je soigne le SIDA et je peux construire des missiles Sol-Sol 777 »

Mamadou Dango, le chercheur burkinabé en égyptologie sort de sa réserve. L’homme avait séduit plus d’un Burkinabé à travers ses démonstrations. Plus d’une décennie passée,
on avait perdu ses traces. Nous l’avons redécouvert fortuitement à Gounghin au
secteur 9 de Ouagadougou dans sa cour familiale au milieu des siens. A cœur ouvert, il s’est prêté à nos questions. Très alerte, loin d’être un illuminé, l’homme a abordé plusieurs sujets, notamment de sa situation actuelle avec beaucoup d’émotion et de préoccupations. Malgré la modicité de ses moyens, Mamadou Dango garde le moral haut. Il dit pouvoir guérir le SIDA, capable de construire des missiles Sol-Sol 777, entre autres. Nous vous invitons à redécouvrir ce chercheur burkinabé multidimensionnel : le scientifique à facette ésotérique.

 

Le Quotidien : Qui est Mamadou Dango ?

 

Mamadou Dango : Mamadou Dango est né le
15 Mars 1964 à Réo. Mes parents sont originaires de Zélassé dans la Province du
Nayala. Je suis marié avec quatre enfants. Je suis titulaire d’un BAC D. Depuis
1987, je suis un chercheur, principalement en égyptologie, mais quatre ans
auparavant, je fus enseignant au Yatenga. J’ai beaucoup voyagé à travers le
monde. D’abord à Abidjan où je me suis inscrit à l’Université de Cocody en
cours du soir en Math-physique tout en travaillant le jour. J’ai aussi présenté
mes travaux à l’hémicycle de Côte d’Ivoire sous forme de conférence en 1997.
Dans le cadre de mes recherches, je suis allé en Israël, Turquie, Syrie,
Cambodge, où j’ai fréquenté des écoles supérieures ou instituts de recherche.
En Egypte, j’ai eu l’honneur de visiter les six pyramides pour compléments de
mes travaux. Des amis chercheurs m’ont amené au Soudan et à Athènes (Grèce).
J’ai visité deux fois les Etats-Unis à l’invitation d’amis chercheurs.
Contrairement à la rumeur publique, j’ai des attaches à la NASA mais je n’y ai
jamais siégé. Depuis le décès de mon père en 2008, je vis au Burkina.

 

Depuis un certain temps, vous avez comme disparu de la circulation. Qu’est-ce qui se passe ? Etes-vous confronté à un problème de moyens ou d’inspiration ? Pour tout dire, vos génies vous ont-ils lâché ou abandonné ?

 

Cela fait 24 années que je suis dans la recherche scientifique et je
n’ai pas lâché un seul jour. Au début, l’objet de ma recherche était de trouver
le plan réel de la grande pyramide, celle de Kheops en Egypte. Il m’a fallu 10
ans d’investigations scientifiques pour aboutir au plan, non pas de la seule
pyramide de Kheops, mais l’ensemble architectural des six pyramides et du grand
Sphynx du site de Guizeh. A ce stade, le plan requiert des connaissances
solides en mathématique, physique et surtout en géométrie analytique et
différentielle. Ainsi, le plan de Kheops est un plan codifié à la fois de
l’espace, de l’énergie et de la matière tel qu’il démontre par étapes
successives les origines de l’univers avant et après le big bang, depuis
l’atome jusqu’à la mise en place des galaxies, des systèmes solaires, des
planètes et jusqu’à l’apparition de la vie sur terre l’homme y compris. Cependant,

contrairement aux espèces animales et végétales, le code de Kheops qui fait
suite au plan établit clairement la double hélice d’ADN à l’origine du code
génétique humain. Aussi, des multiples applications scientifiques qui sont
possibles avec le code de Khéops, j’ai choisi moi de travailler dans les
domaines où j’excelle. Pour tout dire, mes génies ne m’ont pas abandonné. Au
contraire, cela prend de l’ampleur.

 

 

Mamadou Dango

 

Que voulez-vous dire ?

 

Cela s’intensifie à deux niveaux. D’abord au niveau de ma propre
personne parce que depuis mon enfance j’ai la capacité de pressentir tout
danger physique accidentel qui doit arriver à un membre de la famille, un ami
ou un proche que je côtoie. Mais il y a dix ans, je ne fréquente plus les
salles de cinéma, les marchés, les endroits publics bref, là où il y a foule
parce que cette capacité s’intensifie à tel point que je détecte les personnes
en situation de danger physique grave voire mortel, 72 heurs à l’avance.

 

Comment arrivez-vous à gérer cette double personnalité ?

 

Péniblement. Et le plus affligeant pour moi est de devoir avertir un
proche ou un ami d’un danger physique imminent, voire mortel et qu’il soit
inaccessible du fait de son rang ou de son statut social. Comme cette capacité
est liée à la mémoire visuelle, je fais violence sur moi-même en ignorant la
turbulence humaine.

 

Et l’autre niveau, qu’est-ce que c’est ?

 

L’autre niveau concerne l’aspect scientifique, c'est-à-dire le code de
Kheops. C’est un code numérique et rationnel. Ce code est la porte d’accès à la
connaissance directe des éléments de la nature de telle sorte que l’on a une
explication des énigmes et une application scientifique, directe de ses données
dans plusieurs domaines tel que le VIH par exemple.

 

Est-ce à dire que vous pouvez soigner le SIDA ?

 

Je ne suis pas un tradipraticien, mais je le faisais déjà dans la
discrétion à cause de l’hostilité et de l’adversité des hommes. Pour cela, pour
éviter les problèmes, je ne soignais que des proches ou des amis sans
contrepartie lucrative. J’ai ainsi guéri 15 à 20 personnes ici au Burkina. A
l’étranger, ceux que j’ai soignés sont plus nombreux.

 

Comment en êtes-vous arrivé à soigner ?

 

C’est suite au décès d’un ami militaire de cette maladie que je me
suis mis à étudier le cycle du VIH. J’ai passé des mois et des nuits entières
sans sommeil avant de trouver la faille du virus. Et la composante essentielle
pour anéantir le virus était de savoir que le virus possède une expansion
biologique inversement proportionnelle à dix puissance moins 31 (10-31)
par rapport à l’expansion physique de l’univers. C’est dans cette expansion
inverse que le virus élabore sa transcriptase inverse qui nous infecte et nous
tue.

 

Continuez-vous à soigner les porteurs du VIH ?

 

J’avais arrêté parce que l’élaboration du traitement prend trop de
temps et empiète sur mes travaux de recherche. Cependant, un couple suisse venu
de Genève spécialement pour que je les soigne, m’a obligé à reprendre. Nous
étions à l’époque en l’an 2000. Maintenant, en plus de la méthode curative, je
peux soigner par la méthode préventive en fonction de ma disponibilité.

 

Vos précédents travaux ont porté sur quoi ?

 

Mes premiers travaux sont du domaine de la physique appliquée. J’ai
conçu l’anti-acridien qui est un appareil de lutte contre les criquets pèlerins
et le Tube optique Médical qui est un appareil d’imagerie médicale,
respectivement en 1986 et en 1987 à Ouahigouya. J’ai conçu le principe du
forage écliptique en 1989 à Titao. C’est un nouveau type de forage d’eau
potable qui peut alimenter une ville d’au moins quatre vingt mille
(80 000) habitants pendant 230 ans sans tarir. J’ai conçu la première
partie du missile Sol-Sol 777 à Haïfa en Israël en 1991 et la 2ème  partie, à l’Institut des Peuples Noirs (IPN)
en 1992. C’est un matériel à usage militaire.

Ce sont là mes travaux quand j’avais entre 22 et 28 ans.

 

Peut-on vous prendre au sérieux ? Comment peut-on contrôler la véracité de vos recherches ?

 

En effet, à l’époque par l’entremise d’un ami, j’ai demandé à son
Excellence Rock Marc Christian KABORE alors Premier Ministre de m’aider à faire
vérifier la véracité de mes travaux de recherche. Ce qui fut heureusement fait.
Un comité scientifique fut installé et eut pour tâche d’évaluer mes travaux. Mais
dès la première rencontre avec le comité scientifique, j’ai d’emblée été choqué
par les propos peu éloquents du président dudit comité qui, dans son mot
d’ouverture, me dit ceci : « Tu ne peux rien m’apprendre en matière
de recherche scientifique, à peine si tu es plus âgé que mon premier
fils. » Les choses étaient alors mal engagées pour moi. Au lieu d’un
travail en équipe et d’une stratégie d’approche scientifique, j’étais comme en
face d’un tribunal et les membres de ce tribunal étaient à la fois avocats,
juges et jurés. J’étais l’accusé. Selon moi, accusé pour excès de connaissances
ayant abouti à des applications scientifiques pouvant faire progresser
positivement la science au Burkina Faso. Il y a de cela 16 ans. J’avais décidé
de garder le silence. Je prends à témoin le CNRST et l’invite à diffuser les
images de la rencontre pour témoignage. Je reconnais que certains membres du
comité ont pris ma défense en disant au président du comité qu’il était hors
sujet par rapport aux objectifs qui leur étaient assignés.

 

 

 

Vous n’avez donc pas remis vos travaux au comité scientifique ?

 

Malgré le blocage prémédité sur l’issue finale de l’évaluation
scientifique de mes travaux, j’ai remis deux de mes travaux de recherche au
comité scientifique. L’un porte sur le principe d’application scientifique du
Tube Optique Médical qui est un appareil destiné à la médecine et l’autre porte
sur le principe technique du forage écliptique. Le professeur ZOUGMORE,
physicien et membre du comité scientifique chargé du Tube Optique Médical
reconnut la faisabilité de l’appareil et me demanda le schéma électronique
parce que le principe qu’il avait en main était d’ordre électromécanique et
nécessitait plus de deux mille bornes de fils. Normal, j’ai conçu l’appareil en
fonction des matériaux dont je pouvais disposer sur place à Ouahigouya où
j’étais. C’était en 1987 et j’avais 23 ans. C’était la même chose avec le
forage que l’on peut réaliser. Pour avoir reconnu la véracité et la faisabilité
de ces deux premiers travaux, je rends hommage aux professeurs ZOUGMORE et
Nidaoua SAWADOGO.

 

Qu’est-ce qui vous différencie des autres chercheurs burkinabés ou africains ?

 

Ce serait prétentieux de me différencier des autres chercheurs car la
science est universelle et chacun travaille dans son domaine de compétence.
Même si je maîtrise six disciplines en sciences exactes, je recommande toujours
l’originalité de la recherche. Si, nous Africains, voulons un jour dépasser
scientifiquement l’Occident, ce n’est pas en le copiant ou en le suivant, mais
plutôt en le contournant par l’originalité de notre recherche.

 

Etes-vous en association avec d’autres chercheurs ?

 

Je suis membre de la Société des chercheurs en sciences avancées
d’Haïfa (ISRAEL), membre de l’Association de recherche en histoire de
l’antiquité du Proche et Moyen Orient (Damas-Syrie) et membre fondateur de
l’Association des chercheurs du nouvel âge (ACNA) basée à Abidjan. C’est au
sein de cette Association, en tant que membre du bureau exécutif, que nous
avons accueilli le Professeur Moustapha DIABATE inventeur de l’indicamétrie.

 

Auriez-vous quelque chose d’autres à ajouter ?

 

Je dirai à nos gouvernants, aux hommes de science et à mes
compatriotes que la confiance que les hommes se font mutuellement et tiennent
pour vrai certains faits scientifiques communément reçus pour la seule raison
qu’ils le sont par le plus grand nombre est une attitude de réelle faiblesse
qui est à la base de nos insuffisances, de nos erreurs et de nos échecs. L’aboutissement
de mes travaux démontre que les bâtisseurs de la grande pyramide de Guizeh en
Egypte nous avaient légué la loi ultime sur l’origine physique et biologique de
l’univers qu’ils ont érigé sous forme de monument afin qu’elle puisse traverser
le temps dans la durée. Conserver et préserver cette loi scientifique étaient
le but de construction de la grande pyramide. Découvrir et comprendre cette loi
scientifique étaient son message. Je l’ai découverte et je l’ai décodée ;
mais l’ayant décodée, c’est une loi scientifique qui fait appel à toute
l’humanité, à son bonheur, à sa survie. Aussi, face à des conclusions
scientifiques hautement stratégiques et à des vérités scientifiques qui
annoncent des phénomènes géologiques et des catastrophes naturelles à l’échelle
planétaire qui vont inéluctablement frapper la terre au moment requis, j’en
appelle au Président du Faso et à son gouvernement de s’approprier cette loi
scientifique ultime pour la survie de l’espèce humaine.

 

Interview réalisée par Salifou PARKOUDA



25/10/2012
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